Mon headband Hermès
Juin
2013
Je suis allée au début de l’année, dans un usine de recyclage à Tours, acheter, en gros, des foulards. Je me suis d’ailleurs, à cette occasion, mise dans une sacrée galère. En bonne parisienne que je suis, qui n’a pas l’habitude de franchir les barrières du périph., je n’avais pas prévu que l’usine puisse être située en périphérie de la ville, et seulement accessible en voiture. Je me suis retrouvée à galérer à pied sur l’autoroute, et dans les champs avec mon e phone qui menaçait de s’éteindre comme seul guide. Et comme pour mieux me punir de ma légèreté, le seigneur, Zeus ou monsieur météo avait choisi de faire tomber la pluie ce jour-là, je suis arrivée à mon rendez-vous, non seulement avec 2 heures de retard, mais aussi toute crottée, et parfaitement imprésentable.
Bref, j’ai acheté 300 magnifiques foulards, que j’ai presque tous revendus. Il m’en reste une vingtaine dont un, ci-dessus, que j’ai gardé pour moi, et dont je ne me sépare pas.
Je sais qu’Hermès a déjà référencé les 10 000 façons de porter un foulard, que tous les blogs en font autant, que le sujet est over traité, et donc que je n’invente ni la poudre, ni la roue et encore moins le fil à couper le beurre, mais je vais quand même vous montrer comment je le porte, car c’est facile, pratique, joli et que toutes les meufs qui n’ont pas plus inventé la poudre que moi me disent d’une voix un peu bécasse » Putain, c’est troooop bôôôôô comment t’as mis ton foulard ! ». Alors voilà, je le mets comme un headband. Alors, je fais un peu pirate, un peu bobo, un peu gitane, un peu tout, un peu rien, mais j’adore…