Du rouge à lèvres rouge
Nov
2013
Pour les filles qui partent toujours à la bourre, le rouge à lèvres, c’est le top ! Pas besoin de se poser devant une glace, n’importe quelle surface réfléchissante fait l’affaire : une vitrine de boutique, un rétroviseur, un couteau…en trois secondes dans une file d’attente, ou dans le métro, c’est réglé. Les quelques garçons qui lisent ce post doivent se demander comment il peut en être autrement. Et bien non l’eye-liner, par exemple, est une tannée. Ca prend du temps, nécessite certaines conditions, et toute une panoplie de trucs : cotons tige, démaquillant… si bien qu’il est inimaginable de s’en mettre ailleurs que chez soi, et encore moins s’il l’on est pressé.
Quand je dis rouge à lèvres, prenez-le au sens littéral du terme, ça n’est pas marron, rose, orange ou je ne sais quelle autre couleur de l’arc en ciel. C’est rouge. Ma grand-mère me répétait toujours que mettre autre chose que du rouge était une transgression des codes universels du bon gout (vous imaginez bien qu’elle n’aime pas mon vernis bleu). Je ne suis pas aussi catégorique qu’elle, mais c’est vrai que je préfère vraiment le rouge. Et, contrairement à ce que l’on dit, je préfère le rouge sur les peaux diaphanes (diaphane et pas verdâtre) que sur les peaux mates. Je trouve cela beaucoup plus chic. Alors comme je suis toujours pressée et que ma peau est aussi mate que celle de de Omar Sy est banche, vous imaginez que je ne m’en prive pas.
Avez-vous remarqué que les publicités de liquide vaisselle vantent systématiquement leur efficacité en prenant comme exemple, la tâche ultime, la traces de rouge à lèvres. Et oui, le rouge à lèvre, c’est joli mais, ça part mal, et pas que sur les serviettes, ça laisse des grosses trainées rosâtres qui s’apparentent à de l’eczéma ou je ne sais pas quelle autre maladie de peau qu’on préfère voir sur les autres que sur soi. Alors mieux vaut ne pas rater son coup !